890ca23940d906a5ca05119848c263c8bd4cca7f
70530a7ebd3790ffc635e0dceea45b2d13b4ed4e
26b8f3b26f3ebc11293f0a3f1f7e1eb79e034b50
00d830b1e58e0fe46a19304decce621ff789261e
A7ee1c046edeed0862581d90ddfc0ffb66018b99
B4167e74c5fcd9045a5d1809fe744d680128318a
Fermer
cinéma

Halal police d'état

17f8974857569fc3921d2a2f7c1da0da825ff28b

Alors qu'une série de meurtres fait rage dans le quartier de Barbès allant jusqu'à provoquer la mort d'une diplomate algérienne, les autorités françaises font appel à l'aide de la police algérienne qui envoient deux de ses meilleurs éléments sur place : l'inspecteur Nerh-Nerh et son acolyte le Kabyle. Si les deux 'blédards' et leurs drôles de méthodes font tâche, ils n'en obtiennent pas moins de surprenants résultats.

Sur leurs noms, les deux complices à a vis comica un brin décalée ont déjà posé leurs pattes sur nombre de productions cinématographiques dont la qualité semble avoir diminué en même temps que le tarissement d'une inspiration visiblement essouflée. Halal police d'état, en dehors de quelques éclats faisant écho à l'actualité (ironiquement un français supplie à la montée dans l'avion, de ne pas être reconduit dans son pays) ira cependant très vite se classer dans la catégorie des nanars oubliables, tant par sa grotesque propension à abuser d'atifices vestimentaies grossiers que par une volonté continue de puiser dans des univers aussi variés que mal-à-propos (du complot raciste à l'enlèvement par des extra-terrestres). Au-delà d'un scénario qui n'a pour simple objectif que d'offrir des moments de gloire aux deux acteurs principaux, la réalisation, d'une pauvreté rare distille rapidement un ennui qu'aucun sursaut ne viendra jamais troubler. Un gâchis prévisible, à fuir saut si vous aimez les plats frelatés, les nanars et les mélanges imrobables et frelatés.

Publié le 16/02/2011 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma