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cinéma

Ce que le jour doit à la nuit

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Dans l'Algérie pauvre des années 30, Younes doit quitter son père, paysan ruiné contraint de s'installer en ville, pour aller vivre chez son oncle. Younes devient Jonas, fait des études et se lie d'amitié avec les gamins de Rio Salado. Il retrouve aussi Emilie avec laquelle il vivra une grande histoire d'amour mise à mal par les affrontements sans cesse plus nombreux à travers tout le pays.

En adaptant le récit fleuve de Yasmina Khadra, Arcady replonge dans l'histoire algérienne. On sent bien que, derrière le mélo un peu pompeux, ce qui l'intéresse, c'est surtout la dépiction des soubresauts d'une société pas forcément aussi déchirée que l'histoire le laisse entendre. Las, si le casting se montre pertinent et efficace, l'ensemble traîne en longueur, s'attardant sur des scènes maladroites et jouant plus que de raison sur la corde d'une sensiblerie ostentatoire et d'autant plus malvenue que le portrait d'une Algérie cosmopolite et colorée qui transparaît dans le film s'avère lui plutôt réussi.

Publié le 12/09/2012 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma