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JONATHAN BREE

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JONATHAN BREE (2019)
Le néo-zélandais est ce qu’on appelle un artiste à la vocation précoce. Il a tout juste 12 ans quand il se met derrière les fûts du groupe gothique de son adolescence (8 ans de moins que les autres musiciens) .

Piercings et Fishnets son ses tenues quotidiennes, une vie personnelle et familiale compliquée entre la Nouvelle Zélande et l’Australie où son père y est installé comme « Gourou Spirituel ». Ce roman de vie prendra une tournure musicale bien affirmée à ses 19 ans. Son retour à Auckland correspond à la création de son groupe The BRUNETTES. Formation indie pop aux résurgences digérées de Pavement, Modern Lovers, Georges Martin ou Brian Wilson, The BRUNETTES a construit son culte avec pas moins de 4 album dont le désormais classique  ‘Holding Hands Feeding Ducks’, tournant avec Postal Service et surtout en signant sur le mythique label de Seattle SubPop.

Pourtant l’aventure tourne court en 2010 et Jonathan BREE seul se passionne pour la collection de musique classique dont il a hérité, BARTÓK ou TCHAÏKOVSKI tournent en boucle sur la platine. Il romp alors avec la tradition sage de l’indie pop music pour y intégrer des éléments plus savants: arrangement de cordes, intervention de grands ensemble orchestraux, de voix célestes semblant issues de pièces d’avant garde, travaillant son étrangeté dans l’imagerie de ses nombreux clips, suce le Gainsbourg de Vannier comme un nouveau maître à penser.

« Sleepwalking » son troisième album solo s’affirme comme un joyaux rare qu’il faut absolument découvrir.

Publié le 11/10/2019